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『이지뛰르』의 ‘한 관념’, 그 ‘자의식’의 ‘장소’ 연구
Étude sur le ‘lieu’ de ‘la conscience de soi’ d’‘une idée’ dans Igitur
김종기 ( Kim Jong-guy ) , 장정아 ( Jang Jung-a )
프랑스어문교육 vol. 29 459-481(23pages)
UCI I410-ECN-0102-2021-000-001129791

Igitur de Mallarmé se présente comme ‘un conte’ homéopathique, par lequel Mallarmé doit reconstituer son ‘moi’ qu'il ‘a voulu abjurer’ : son aventure autour d'‘une Conception Pure’ ‘impersonnel’ a réclamé l'abolition de toutes ses pensées, et il s'est confronté au dilemme entre ‘être et ne pas être’, devise fatale qui se déguisait en ‘La Folie d'Elbehnon’, “la folie d'Hamlet” Ainsi a commencé et s'aventurera le drame d'Igitur-Mallarmé. À ce drame fondé sur la question ‘être ou ne pas être’ répond Igitur en foulant ‘un lieu’ spécial. Là où dure sans fin sa question·hésitation·doute, parce que sa fuite de la tombe aboutit à son propre retour. De ce fait, le choix entre ‘être’ et ‘ne pas être’ s'y révèle hors de question. Ce ‘lieu’ tient à ‘une vision de la chûte interrompue de panneaux’ auquel arrive ‘une idée’·Igitur à travers modifications des images : pendule, tombeau et spirale. Et ces modifications, étant parties de la perception d'Igiur·‘une idée’, permettent à cette ‘idée’ de constituer sa conscience. C'est ainsi que se prépare ‘un lieu’, ‘lieu’ de ‘la conscience de soi’ d’‘une idée’·Igitur. Etant donné que la mission d'Igitur·‘une idée’ est de connâitre le Minuit·‘une Conception Pure’, ce ‘lieu’ se montre comme une limite de la co-présence absurde du Minuit avec Igitur·‘une idée,’ une sorte de pensée personnelle. Et sa cognition du ‘lieu’ apporte d’abord sa conscience de soi à Igitur·‘une idée.’ Celle-là, en disparaissant, peut faire [re]connaître ensuite le Minuit à celle-ci : le dilemme mallarméen. La disparation de soi conscient devient alors un devoir en cours pour qui doit connaître le Minuit, et elle va naturellement engendrer le doute ‘être ou ne pas être.’ Aucun choix entre ‘être’ et ‘ne pas être’ ne se passe cependant, à cause de ce ‘lieu’ unique. C'est dans cette hésitation inévitable, dans cette inutilité de choix que peut, à reprises infinies, subsister une conscience de soi. Ce ‘lieu’ captivant Igitur·‘une idée’ devient une incarnation d’une possibilité de [re]connaître le Minuit, d’une virtualité de co-subsistance d’'être' avec 'ne pas être'. Ce 'lieu' est une architecture de l'esprit : ‘une idée’ est une partie du Minuit, et tous les deux sont chaques étapes de l'esprit d'Igitur. C'est la ‘réflexion du Minuit’ qui inaugure le parcours d'Igitur·‘une idée’ et sa présence même. Pour ces raisons, le ‘lieu’ se manifeste comme une scène, créée par ‘la fiction’·‘le precédé même de l'esprit humain’, ‘la fiction’·‘le mécanisme littéraire’. Le ‘lieu’ du doute infini -‘être ou ne pas être’-, parvient enfin à celui du ‘doute du Jeu suprême’, où se caractérise la poésie mallarméenne. Il en résulte qu’Igitur·‘une idée’ se métamorphose en un comédien dans une scène fictive. Et cela permet à Igitur de se consacrer au "Cogito d'Igitur." C'est ainsi que se dissout le dilemme mallarméen dans le ‘lieu’ de ‘la conscience de soi’ d’‘une idée’ : le dilemme de l'‘être et ne pas être’, dans l’‘être ou ne pas être’.

1. 존재와 비존재의 공존 그 ‘광기’
2. ‘자정’
3. ‘한 관념’의 등장
4. ‘한 관념’의 자기인식
5. ‘존재 혹은 비존재’의 ‘장소’
[자료제공 : 네이버학술정보]
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