À n'en pas douter la phiolsophie de Sartre nous enseigne plus qu'aucune la responsabilité de l'opération de la bonne foi en tant que le choix volontaire à la fois exixitentiel. C'est seulement dans cette responsabilité comme l'attitude majeure qu'il pourrait assumer la liberté. Au contraire la manifestation du choix poétique chez Bataille nous donne matière à la conscience de la destinée du poéte comme le subversion impersonnelle pour la morale authentique.
Le poète tient seulement à communiquer ce qu'il a decouvert par chance. Découverte qui n'est que renouvellement. La chance, unique mode sur lequel a lieu cette découverte, est accordée à tous. Pour répondre au choix chez Baudelaire que juge "malencontreux" Sartre, en compagnie de Bataille, nous proposons deux mots : la transgression et la volonté passive du poète. De la transgression à la poésie de la volonté involontaire, le silence tient le contraire de la poésie prétendue. L'usage volontaire des mots, la négation de la poésie détruit la chance. L'éclipse de la chance est l'absence de la poésie. La poésie comme "la contradiction d'un refus du Bien et de la création d'une oeuvre durable", malgré soi, "s'engage sur la voie de décomposition rapide". Bien que la position maudite et humiliante du poète ne puisse être dépassé, il est vrai, la poésie de Baudelaire, elle-même, est "dépassée". Sa chance est donnée dans la chaleur dont l'attrait l'anime, non dans l'intelligence objectif. Entre le monde prosaïque de l'activité et le monde de la poésie, il désirerait trouver la défense de la chance involontaire devant la fatalité d'insatisfaction. Le language poétique entendu dans sa rigueur, de hasard, ne s'élève pas en tant que l'évidence du dicours du phiolosophe. Ainsi la poésie, invocation à ce qui est impossible "se conçut de plus en plus négativement, comme un parfait silence de la volonté".